Une journaliste : certes la famille Van Der Woodson est une habituée des tabloïdes mais cette fois il semblerait que ce soit la mère qui se trouve prise au cœur d’un vaste scandale. Selon nos sources elle risque une peine de 10ans de prison pour faux et usage de faux.
Blair : éteints moi cette radio et laisse-moi tranquille Dorota, je ne sortirais pas du lit.
Dorota : je pensais que ça vous ferait du bien de savoir que quelqu’un a une vie pire que la votre.
Blair : tu n’es pas là pour penser mais pour me servir donc si j’ai besoin de toi, je te sonnerais.
La journaliste : Lily Humphrey ira-t-elle derrière les barreaux ? Cette figure de la haute société newyorkaise a falsifié la signature de sa fille sur une déposition qui a eu pour conséquence d’envoyer un innocent en prison pendant presque 3ans. La victime Ben Donovan avait été innocenté, il est peu probable que Lily soit aussi chanceuse. A l’heure où je vous parle, elle est cloîtrée chez elle pendant que ses avocats se démènent pour trouver un accord. Nous sommes actuellement devant son immeuble situé.
Chuck : je ne savais pas que tu étais là.
Raina : bonjour à toi aussi.
La journaliste : pour l’instant aucun membre de la famille n’a fait de déclaration. Nous attendons l’arrivée de son ex mari.
Nate : ça va ?
Raina : c’est dingue, tout ce qui arrive à Lily en ce moment est à cause de mon père et je ne peux pas m’empêcher de me sentir coupable.
Nate : écoute, ça serait certainement sorti de toute façon. Allez décroche au moins une fois c’est encore lui.
Raina : allo, je t’ai déjà donné ma réponse. Comment ça, ça pourrait tout changer ?
La journaliste : les bookmakers sont déjà en train de prendre des paris sur le nombre d’année de prison qu’elle risque d’encourir.
Serena : allô Chuck.
Chuck : est-ce que Lily tient le coup ?
Serena : je ne sais pas je viens d’arriver. Tu ne viens pas nous rejoindre ?
Chuck : Lily pense que la situation est assez compliquée comme ça.
Serena : tu m’étonnes, entre ma grand-mère, mon beau-père, mon père qui vient de commettre un délit de fuite. Compliqué c’est un euphémisme.
Chuck : tu en es où avec William ?
Serena : si je devais couper les ponts avec tous ceux qui m’ont déçu, il ne resterait plus grand monde.
Chuck : en parlant de décevoir est-ce que par hasard tu sais pour quelle raison Blair ne m’adresse plus la parole ?
Serena : tu ne lui as pas reparlé depuis ta fête ?
Chuck : je n’ai même pas pu rentrer dans sa chambre. Quand elle a dit qu’elle ne voulait plus me parler je ne pensais pas que c’était si définitif. Tu crois qu’elle a quelqu’un ?
Serena : non, ah moins que tu ne comptes Dorota, ça fait des jours qu’elle n’est pas sorti de son lit.
Chuck : elle nous fait une déprime mais pourquoi.
Serena : je pense qu’elle flippe parce que son rêve de devenir une femme de pouvoir a vite tourné court.
Chuck : merci pour le tuyau. Embrasse Lily pour moi.
Serena : je le ferais bye.
Chez Lily.
Rufus : arrête de lire ça, tu te fais du mal inutilement.
William : tu sais parfois il faut mieux affronter la réalité tu vois, faire face et avancer.
Rufus : justement on parlait de ça il n’y a pas longtemps. C’était à quel sujet déjà, rappelle-moi. Ah oui toi.
William : je te le dis pour la énième fois, je n’irais nulle part tant que je ne saurais pas ce qu’il v advenir de mes enfants si par malheur Lily ne peut plus s’en occuper.
Rufus : ça va elle n’est pas mourante, pas cette fois et Eric et Serena ont déjà un père qui s’occupe d’eux.
William : un beau père ce n’est pas pareil.
Cece : enfin je vous en prie, un peu de tenue s’il vous plait, nous sommes là pour Lily. Oh ma chérie, tu es divine sur ces clichés de police. Tu as bien fait de te rendre ce jour là, tes cheveux étaient impeccables.
Lily : oui maman c’est pour ça que je l’ai fait. En tout ca heureusement dans quelques heures je serais immortalisée d’une façon beaucoup plus digne et glamour.
Rufus : le projet Tachaine c’est pour aujourd’hui ?
Cece : et comment, l’album de la royauté moderne. J’adore ce titre.
Serena : bonjour maman. Papa !
William : ça va ma chérie ?
Cece : Serena mon trésor on était en train de parler du portrait, comment pourraient-ils faire un livre sur la royauté moderne sans m’y inclure avec mes filles, chacune de mes filles.
Lily : qu’est-ce que je suis censée comprendre ?
Au loft.
Eric : franchement merci, je ne savais plus où me réfugier j’avais vraiment besoin de faire un break tu vois, entre ma mère, ma grand-mère, mon père et ton père.
Dan : oh oui attend bien sûr ne t’inquiète pas tu es en lieux surs ici.
Eric : je suis très étonné que Serena ne t’ai pas appelé à la rescousse.
Dan : elle m’a appelé mais j’ai préféré passer mon tour, tu classerais William Carlos William à W ou C ?
Eric : c’est la première fois que je te vois manquer une occasion d’aider Serena et tu classes tes livres. Qu’est-ce qui se passe ?
Dan : tu jures de ne rien dire et de ne pas rire ?
Eric : heu j’emporterais ton secret dans ma tombe mais le rire est une réaction que je ne peux pas contrôler.
Dan : j’ai embrassé Blair Waldorf.
Eric : waouh, celle là je ne l’ai pas vu venir.
Dan : ouais moi non plus mais c’est arrivé qu’une seule fois mais c’était bizarre.
Eric : ouais ça j’imagine.
Dan : mais bizarre cool, genre waouh c’est bizarre il était top ce baisé ou bizarre nase genre tu vois simplement waouh bizarre.
Eric : et elle ne t’a donné aucun indice pour t’orienter ?
Dan : non, non elle est simplement repartie sonnée en me laissant seul dans son entrée.
Eric : mystérieux.
Dan : tu m’étonnes, en plus je crois avoir faire les choses dans les règles. Je l’ai appelé le lendemain et depuis une semaine pas de nouvelle.
Eric : oh attend, attend, pourquoi ça te préoccupe autant ? Est-ce qu’elle te plait ?
Dan : quoi, non, non elle ne me plait pas. Pas du tout, pas une seconde je suis seulement curieux. Mais tu vois c’est vrai que aussi, je dois avouer qu’elle sent bon.
Eric : oh je ne peux pas le croire tu es en train de craquer pour Blair Waldorf.
Chez Blair.
Blair : ôte ça de ma vu Dorota, je ne peux pas manger. Je t’ai sonné pour que tu appelles un médecin. Je crois que j’ai la tuberculose.
Dorota : cette maladie n’existe plus depuis 2 siècles, il y a des vaccins pour ça.
Blair : alors je me meurs d’autre chose.
Dorota : je vois bien que tout va de travers depuis que vous avez arrêté de travailler, mais Carmela Soprano n’a pas pris de temps pour elle avant ses 40 ans.
Blair : ce n’est pas à cause de mon travail que je suis dans cet état, c’est autre chose, quelque chose qui a changé mes perceptives d’avenir et depuis je me cache par peur d’affronter la vérité. Eperly, qu’est-ce que tu veux ?
Eperly : je m’occupe du stylisme pour le livre de ta chaîne sur la royauté moderne.
Blair : oui je connais le projet, Serena est dedans.
Eperly : l’assistant vient de me lâcher pour travailler avec le photographe du prince Williams. Ton aide me serait vraiment très précieuse.
Blair : mon aide, après notre expérience précédente ?
Eperly : oh, tu es faite pour ce genre de travail. Grâce à ton goût toujours si sur et ton autorité légendaire.
Blair : bien, je vais tâcher de modifier mon planning.
Eperly : on se retrouve dans une heure, je t’envoie l’adresse.
Blair : tu avais raison Dorota. Il faut peut être que je me replonge dans le travail. Les sentiments et les révélations ça peut attendre.
A l’Empire.
Eperly : elle a accepté le job comme tu le pensais, mais pourquoi toutes ces manœuvre si je peux me permettre.
Chuck : quelqu’un m’a ouvert les yeux et m’a donné envi de fonder mon propre empire. Partir de zéro. Je ne pourrais pas convaincre Blair que sa place est à mes côtés tant qu’elle se sentira inférieur à moi.
Eperly : bien, j’espère que ça marchera. Moi depuis que je suis rentrée de Bali c’est le grand désert sentimental.
Chez Lily.
Lily : je trouve ça inouï que tu ais demandé à Carole de venir ici sans me demander mon avis avant.
Cece : je n’ai pas besoin de ton avis, c’est ta sœur et puis si je te l’avais demandé, tu aurais dit non.
Rufus : c’est assez compréhensible, c’est Carole qui a rompu les liens avec Lily.
William : je dirais qu’elles sont fautives toutes les deux, mais en même temps Rufus n’a pas tout à faire tord pour une fois. La présence de Carole risque de rajouter encore plus de stress.
Serena : mais non c’est ce que vous en faite qui est super stressant. Elle n’est pas encore là et vous vous étripez déjà à cause d’elle.
Carole : en même temps si vous aviez réagi autrement je ne vous aurais pas reconnu. Bonjour frangine j’ai toujours su que ton château de carte s’effondrerait un jour mais la prison, là ça dépasse mes espérances.
Lily : bienvenue Carole.
Carole : et maman.
Cece : ma chérie.
Carole : et bonjour aux maris de Lily, le premier et le cinquième.
Rufus : salut.
Carole : et Serena.
Serena : salut Carole, contente de te voir.
Carole : oh tu sais que ta mère avait de longs cheveux comme les tiens mais c’était à son époque groupie quand elle partait en tournée ensuite elle a tenté le lissage brésilien. Pas vrai Rufus ? J’adore tes mocassins, c’est ton nouveau style ?
Lily : Carole, tu sais que nous, on a évolué depuis la maternelle.
Serena : je le prends.
Lily : donc puisque tu es venu pour ce projet de photo, tu pourrais peut être nous aider à choisir un thème. Moi je pensais à la dolce Vita.
Carole : s’il faut absolument que ce soit un film, on pourrait choisir Chicago tu ferais Roxie Hart en prison, ça serait marrant.
Lily : je sais que tu trouves ça très futile mais c’est pourtant un grand honneur pour la famille.
Carole : ah oui mais ce n’est pas moi qui ait sali l’honneur de la famille.
Serena : ce n’était pas ton avocat, c’était à propos du livre. Ils veulent annuler le portrait à cause du scandale. Je suis désolée maman.
Gossip Girl : pauvre Lily, il semblerait que sa possible incarcération ne cadre pas avec l’esprit de la royauté moderne.
Dans le hall.
Serena : vous pouvez m’appeler un taxi ?
Le portier : oui mademoiselle.
Charlie : Serena : merci.
Serena ?
Serena : désolée ma famille ne fera aucune déclaration.
Charlie : oh alors dans ce cas je n’en ferais pas non plus parce que théoriquement je fais parti de la famille. Tu te demandes surement quel lien de parenté tu peux avoir avec quelqu’un qui semble sortir de nulle part. Heu mais je suis ta cousine.
Serena : Charlie ! Oh pardon Charlotte. C’est génial, ta mère ne m’a pas dit que tu étais là.
Charlie : ça c’est parce qu’elle n’est pas au courant. On peut allez quelque part pour parler.
Serena : mais oui bien sûr. Allez viens.
Chez Lily.
Cece : les garçons, William a peut être une solution.
Rufus : je n’en doute pas.
William : je connais personnellement Bénédicte Tacher.
Rufus : évidemment.
William : je pourrais l’appeler pour lui demander qu’elle arrange ce petit mal entendu. Eric tu en dis quoi ?
Eric : euh, et bien je pense que maman apprécierait ce geste.
Rufus : très bien tu peux essayer.
William : super.
Cece : merci.
Dans un salon de thé.
Serena : je crois que la dernière fois que je t’ai vu j’avais 6 ans. Tu nous avais retrouvés sur le bateau de Claus.
Charlie : euh je crois qu’on peut appeler ça un yacht. Si je me rappelle bien il y avait même un ascenseur.
Serena : d’ailleurs ça avait tellement choqué ta mère qu’elle n’a plus jamais voulu que tu nous revoies.
Charlie : elle pense que votre monde est toxique et que si je vous vois je risque d’être contaminée.
Serena : on est loin d’être parfait c’est sur mais de là à nous voir comme des pestiférés, elle y va fort.
Charlie : ok, donc toi et ton frère, vous n’avez pas séjourné dans un établissement psychiatrique et ton père ne vous a pas fait croire que ta mère avait un cancer et ta mère n’a pas envoyé un innocent derrière les barreaux juste pour que tu réintègres ton école privée ?
Serena : oui, vu comme ça on mérite tous d’être mis en quarantaine.
Charlie : non excuse moi, je parle comme ma mère là. J’ai grandi tellement loin de vous que j’ai eu envi de voir ce qu’elle me cachait depuis toutes ces années.
Serena : ok, je ne te laisserais pas rentrer chez toi sans que tu passes une journée avec moi. Je vais te montrer mon monde et comme ça tu pourras te faire ta propre opinion. On va commencer par faire un petit coup de shopping et ensuite on improvise.
Chez Lily.
Carole : je suis désolée Lily. Je n’avais pas mesuré à quel point cette photo comptait pour toi. Qu’est-ce que tu regardes ?
Lily : que s’il n’y aura pas de nouvelle photo, je me console comme je peux en regardant les anciennes. Tu te rappelles de ça ?
Carole : ce n’est pas vrai ? Ca alors, c’était juste avant qu’on passe notre audition pour les Gold Danser.
Lily : et on cherchait partout des petits hauts dos nu comme celui qu’avait cette fille dans le clip de Cherry Pain.
Carole : oui et la seule chose qu’on a pu trouver c’est des justaucorps dorés. C’était quoi notre chorée ? On commençait comme ça. Allez vient c’était notre audition.
Lily : ouais c’était ça. Tu imagines toi et moi avec nos dos nus ?
Carole : non.
Lily : en fait on n’a pas besoin de Dachun pour organiser une séance photo.
Carole : mais on a besoin de justaucorps.
Lily : tu as raison, allons y !
A la répétition de la soirée.
Eperly : bon Kate Wors sera photographiée avec ses nièces quant à Chuck Bass il sera photographié avec lui-même.
Blair : il posera tout seul ? Il a un oncle pourtant.
Eperly : non, Chuck Bass sera l’unique représentant de sa famille et ces hommes sont les suivants, ils ont demandé à être photographiés avec leurs setters.
Blair : les setters c’est bien plus glamours que les Setens.
Eperly : vilaine. Mais ce qu’ils comptent c’est qu’ils s’aiment ce qui nous prouve que même les setters ont une âme sœur.
Blair : bien sûr, tu es devenue membre d’une secte à Bali ?
Eperly : oh, arrête. Je suis sure que toi aussi tu crois au grand amour.
Blair : et bien je dois avouer que cette vision m’a traversée l’esprit récemment mais heureusement je n’ai pas eu besoin d’aller dans un ashram pour l’avoir.
Eperly : c’est arrivé comment ?
Blair : j’ai embrassé quelqu’un et ça a transformé ma vision de la vie.
Eperly : et alors ?
Blair : c’est tout. Rien d’autre, mais ce qui compte c’est que ce baiser m’a ouvert les yeux. Qu’est-ce qu’elle fait ici celle là ? Comment oses-tu te montrer ici ?
Vanessa : oh bah bonjour à toi aussi. Je viens assister un photographe suite à une petite annonce que j’ai trouvé à la fac, je ne savais pas que la famille de Serena serait là et non je n’ai pas l’intention de partir.
Dans un magasin.
Charlie : oh, regarde.
Serena : ah ouais cette robe est dément, je suis sure qu’elle t’irait super bien.
Charlie : ouais sauf qu’à elle seule elle coute aussi chère que toutes les choses qu’on a acheté aujourd’hui réunies. Ca ne va pas être possible.
Serena : dans ce cas, ça ca va être possible. C’est un bijou de famille donc on peut dire qu’il t’appartient autant qu’à moi.
Charlie : Serena, merci. Merci pour tout.
Lily : oh c’est dingue, je n’en reviens pas qu’on ait réussi à tout trouver.
Carole : ouais, tu as beau être une aristo de l’Upper East Side et moi une incorrigible bohémienne, ça n’empêche pas qu’au fond on est toujours les sœurs Rhodes qui déchirent tout sur leur passage.
Lily : rufus, figures toi que je viens de m’acheter des jambières. Non je ne suis pas saoul bien que.
Carole : je te l’avais dit.
Lily : oh c’est extraordinaire, tu es sérieux ? D’accord, on rentre tout de suite. La photo n’est plus annulée. Alors du coup peut être qu’il faut qu’on rachète des accessoires.
Carole : maman en justaucorps ça c’est de la bombe. J’adore l’idée.
Lily : Serena.
Carole : Charlie ?
Charlie : je vais t’expliquer.
Au loft.
Dan : salut Chuck, qu’est-ce que tu fais là ?
Chuck : je peux entrer ?
Dan : ouais.
Chuck : j’ai appris certaines choses sur mon passé qui me poussent à reconsidérer mon avenir, mon avenir avec Blair. L’ennui c’est que mon instinct me porte à croire qu’elle fréquente quelqu’un d’autre.
Dan : quel rapport avec moi ?
Chuck : je pense que c’est quelqu’un de W, tu as bossé là bas non ?
Dan : euh, oui, oui une journée.
Chuck : tu l’as peut être vu parler à quelqu’un en particulier, en tout cas il semblerait qu’il y ait eu un baiser qui a eu pour effet de bouleverser sa vie selon ses propres dires.
Dan : oh bah si un baiser a bouleversé sa vie je ne m’en mêlerais pas à ta place.
Chuck : qu’est-ce que tu essaies de me dire ?
Dan : avec toi elle a toujours été dans un rapport de force malsain et elle n’est pas comme ça en réalité. C’est une fille intelligente, intuitive et elle est capable de sangloter en regardant les nuits de Cabiria.
Chuck : comment tu peux savoir ça ?
Dan : c’est Serena, elle me l’a dit mais l’important c’est que Blair soit heureuse alors ne l’empêche pas de l’être.
Chuck : je ne pensais pas que son bonheur t’importait autant. Merci pour tes conseils. Eperly, je sais qui Blair a embrassé et je vais encore avoir besoin de toi.
Dans le magasin.
Carole : je me suis battu pour te tenir à l’écart de ce monde pour que tu ne deviennes pas une écervelée obsédée par les fringues, les sorties en boite et les paparazzis.
Charlie : ce n’est vraiment pas juste.
Carole : ce n’est pas le problème, je suis ta mère et c’est moi qui établis les règles, tu dois me faire confiance. Je ne t’ai jamais menti, pas une seule fois. Ecoute, tu vas rendre ce que tu as acheté, tout ce que tu as acheté et on se retrouve à mon hôtel. Le collier.
Dans le hall de chez Lily.
Lily : calme toi ce n’est qu’un collier pas une seringue d’héroïne.
Serena : on faisait juste du shopping.
Carole : et tu as dépensé 1 000 dollars en vêtement pour elle, ça je trouve ça indécent. Nous partons, je passe juste dire au revoir à maman.
Cece : je viens de recevoir ton message, je trouve ça insensé que tu refuses de monter.
Lily : Carole s’il te plait Serena pensait bien faire et puis on s’amuse bien toute les deux pour une fois, en plus la séance photo va finalement avoir lieu. Reste au moins pour ça.
Carole : tu trouves ça peut être normal de donner à tes enfants des valeurs superficielles mais moi j’ai quitté cette vie pour élever Charlie dans le monde réel. Et je ne te laisserais pas la séduire comme ça.
Lily : super alors ne m’en veux pas si je ne reste pas pour te faire mes adieux.
Serena : et ça va ?
Lily : très bien ma chérie. Tu n’es pas obligée de monter.
Cece : c’est amusant, ton refus catégorique de vivre dans ce monde superficiel ne t’a jamais dissuadé de prendre mon argent.
Carole : je trouve que tu en as eu suffisamment pour ton fric. J’ai accepté de venir, je t’ai soutenue autant que ça a été possible et maintenant je m’en vais.
Cece : je t’envoie un chèque tous les mois, par conséquent tu vas rester pour cette photo.
Carole : ça ne faisait pas parti du marché. Je vais rentrer à l’hôtel faire mes valises et Charlie et moi on prendra le premier avion.
Au loft.
Dan : tiens toi bien, on m’a proposé de poser pour l’album sur la royauté moderne.
Eric : ne le prends pas mal mais pourquoi ?
Dan : oh je ne le prends pas mal, je me suis posé la même question, je crois qu’il y aura une section dans le livre réservée aux jeunes espoirs.
Eric : oh oui, ça m’a tout l’air d’un coup foireux. Tu sais que Blair travaille sur le projet, elle a appelé pour donner à ma mère son horaire, peut être qu’elle t’a imposé.
Dan : pourquoi ? Pour que je sois un soupirant doté d’un meilleur statut social ? En fait c’est tout à fait son genre.
Eric : et normalement tu devrais trouver cette idée répugnante sauf que ce n’est pas le cas, parce qu’elle te plait. Serena est au courant ?
Dan : c’était simplement un baisé, il n’y a rien à savoir jusque là.
Eric : bon fait attention à toi et mets un joli costard, je dois te laisser. Allô ? Oui c’est Eric, quoi, non je ne savais pas que j’étais attendu pour la séance photo.
Aux préparatifs.
Blair : tu es en retard.
Dorota : et vous vous êtes radieuse. Pourquoi vous m’avez demandé d’apporter une brosse à dent et des dessous chics ?
Blair : tout simplement parce que je vais avouer à une certaine personne ce que je ressens vraiment pour elle et si tout se passe comme je l’espère, je ne peux pas porter une culotte ordinaire.
Dorota : je ne crois pas que Dan Humphrey puisse faire la différence.
Blair : Dan Humphrey, de quoi est-ce que tu me parles ?
Dorota : ce n’était pas raison de votre repli ? Parce que vous aviez honte de votre relation avec le garçon totalitaire.
Blair : c’est le garçon solitaire et ce n’était pas une liaison, juste un baiser qui m’a fait prendre conscience que le seul que j’aime c’est Chuck.
Dorota : monsieur Chuck ? Mais vous n’avez plus aucune emprise sur lui.
Blair : merci de me le rappeler. Ecoute, je voulais m’accomplir et devenir une femme de pouvoir avant de rejoindre mes forces au ciel mais Chuck a évolué, les fatoua tout ça c’est terminé. Je crois que nous pouvons avoir un avenir ensemble. Et si Chuck est destiné à être mon prince pourquoi embrasser d’autres crapauds ?
Dorota : Humphrey est plus proche du labrador que du crapaud.
Blair : peut importe à quel animal il te fait penser. Chuck va arriver et je vais lui dire que je suis prête. Il est temps.
Gossip Girl : il parait que la canche sourit aux audacieux.
Au magasin.
Charlie : désolée.
La vendeuse : ce n’est rien.
Charlie : Serena, excuse-moi d’être parti sans dire au revoir mais même si j’ai adoré cette journée, je pense que ma mère a raison, elle a sacrifié beaucoup de choses pour m’élever du mieux qu’elle pouvait. Je dois respecter ça.
Serena : et bah j’ai l’impression qu’elle a sacrifié moins de chose que tu ne le crois.
Gossip Girl : mais n’oubliez pas que rien n’est gratuit dans la vie, pas même la chance.
A la soirée.
Eric : salut, on m’a appelé pour la séance photo, il parait que je suis attendu.
Une fille : oh vous êtes Eric Van Der Woodson ? Parfait on va s’occuper de vous et de votre sœur. Et vous êtes le docteur Van Der Woodon ?
Rufus : non, qu’est-ce qui se passe ?
La fille : d’après mon nouveau mémo ils vont faire un portrait de William Van Der Woodson avec ses deux enfants.
Eric : mais non pas du tout la personne qui doit poser c’est ma mère c’était le but.
Rufus : sauf que le seul but de William c’est de faire les choses pour lui-même.
Cece : il faut qu’on règle ça. Toi tu vas chercher William moi je me charge de distraire ma fille et vous ne dites pas un mot à qui que ce soit avant que je vous y autorise.
A l’empire.
Nate : bah alors ?
Raina : salut.
Nate : je t’ai cherché partout à ton bureau ils m’ont dit.
Raina : j’avais besoin un peu de calme pour réfléchir.
Nate : à propos de quoi ? Qu’est-ce que ton père t’as dis ?
Raina : ce n’était pas mon père au téléphone. C’était les gens qui s’occupent du livre sur la royauté moderne, ils m’ont appelé pour me dire la même chose que lui. Ils nous veulent dans le livre.
Nate : et tu as dis non bien sur.
Raina : évidemment mais ensuite ils m’ont dit que si je ne voulais pas poser avec mon père je pouvais très bien poser avec ma mère. Quand j’ai raccroché après cette conversation, j’ai pris conscience que si je coupais les liens avec mon père il me restait vraiment plus personne.
A la soirée.
Dan : Blair, je voulais te parler une seconde, je vois que tu as les mains pleines.
Blair : les North ont mangé trop de réglisse. Qu’est-ce qui se passe ?
Dan : j’attends qu’on me tire le portrait, pour la section des jeunes espoirs.
Blair : ce n’est pas une séance photo pour l’album du lycée, il n’y a pas de page réservée aux jeunes espoirs et même si c’était le cas, soyons réalistes Humphrey tu n’en ferais pas parti.
Dan : dis-moi que tu ne m’as pas fait ce coup pour m’humilier.
Blair : quoi non, je ne comprends pas ce que tu fais là.
Dan : Eperly m’a appelé pour me dire qu’ils me voulaient dans l’album. Toi tu n’as rien à voir avec cette histoire ?
Blair : non et je ne vois pas pourquoi Eperly. Oh non.
Dan : quoi ?
Blair : c’est Chuck, il est au courant.
Lily : oh bellissima. Oh tu es absolument divine. Merci d’être là.
Serena : c’est normal.
Lily : on a traversé tellement de choses toutes les deux c’est que je n’ai pas toujours été à la hauteur pour toi et tu es quand même là.
Serena : maman ne pleure pas ce n’est pas le moment tu vas faire couler ton maquillage.
Carole : non mais qu’est-ce que tu as mis dans la tête de ma fille ?
Lily : de quoi est-ce que tu parles ?
Carole : Charlie, elle n’est pas venue à l’hôtel, elle ne connait pas la ville. Elle est toute seule quelque part je ne sais pas où. Oh je le savais, une seule journée avec toi et elle fait une fugue, ça ne peut pas être une coïncidence.
Lily : ne parle pas comme ça à ma fille.
Serena : elle ne s’est pas enfuie à cause de moi, elle est partie parce que je lui ais dit la vérité sur toi. Tu nous traites comme des bêtes de foires mais ça ne t’empêche pas de prendre l’argent de grand-mère tous les mois.
Lily : est-ce que c’est vrai ?
Serena : désolée maman, je les ais entendu parler tout à l’heure. La seule raison pour laquelle elle est là c’est parce que grand-mère l’a payée. Bon moi je vais appeler Charlie peut être qu’elle me dira où elle est.
Lily : bien sur que maman t’as payée pour être là. Comment ais-je pu croire une seconde que tu ais pu envi de venir par affection.
Carole : Lily.
Blair : c’est toi qui es derrière tout ça ! C’est toi qui as demandé à Eperly de m’embaucher et d’appeler Dan pour lui dire qu’il était.
Dan : un jeune espoir, mais c’est quoi ton problème ?
Blair : tu voulais l’humilier en public c’est ça ?
Chuck : je me contrefiche de ce qu’il peut ressentir, je voulais que tu te rendes compte qu’il ne fait pas parti de notre monde. Je sais que tu l’as embrassé.
Blair : et alors ? Toi et moi on n’est plus ensemble et tu as embrassé beaucoup de filles.
Chuck : mais tu n’es pas censée embrasser quelqu’un comme lui. C’est un pecno et tu le sais. Eperly m’a dit que ce baiser avait changé ta vie.
Blair : parce qu’en l’embrassant j’ai compris que je voulais être avec toi. Dan sait très bien qu’il n’y a rien entre nous ou moins que rien pas vrai ?
Dan : c’est vrai oui.
Blair : je comptais te dire tout ça ce soir. Mais ça aurait été une énorme erreur. Dan Humphrey n’est peut être pas de notre monde mais lui au moins ce n’est pas un gamin.
William : ah vous voilà. Lily est au maquillage ?
Rufus : on sait que tu as évincé Lily et sa mère du portrait de famille.
William : je ne vois pas du tout de quoi tu parles.
Rufus : si tu vois, laisse-moi te dire un truc. Te faire prendre seul en photo avec tes enfants ne fera pas de toi un vrai père pour autant.
William : ne me cherche pas Rufus.
Eric : écoute, de toute façon il n’y aura pas de photo sans maman.
William : bien sur que non pourquoi je voudrais écarte ta mère de quoi que ce soit ?
Rufus : arrête de faire l’innocent et arrange ça avant que Lily l’apprenne.
Lily : que j’apprenne quoi ?
Cece : que tu apprennes que je ne suis pas satisfaite de ma coiffure. Je la trouve banale.
Lily : maman tes cheveux sont somptueux.
Eperly : tout est prêt pour la photo Van Der Woodson.
Lily : oh non c’est Rhodes le bon nom et nous sommes et nous sommes là.
Serena : je n’ai pas trouvé Charlie. Qu’est-ce qui se passe ?
Rufus : dis leur ce que tu as fait.
William : non, parce que je n’ai pas fait ce que tu dis.
Eperly : si vous voulez bien aller prendre vos place.
Lily : s’il vous plait est-ce que quelqu’un veut bien être sur cette photo dans cette famille.
Charlie : moi je veux bien.
Gossip Girl : oh Cendrillon s’est finalement décidé à venir au bal. Mais malheureusement le bal n’aura pas lieu.
Carole : oh dieu merci tu es là. J’étais morte d’inquiétude.
Charlie : je vais bien.
Eperly : excusez-moi mais je n’aurais besoin que de William Van Der Woodson et de ses deux enfants.
Serena : quoi, depuis quand ?
Rufus : désolé Lily, Wil n’a rien fait pour t’aider en fait il a juste pris ta place.
Serena : papa.
William : je ne vois pas l’intérêt de me défendre puisque vous ne me croirez pas de toute façon.
Lily : il faut que j’aille prendre l’air.
Carole : où est-ce que tu étais ?
Blair : on dirait la robe que portait la princesse Diana le lendemain de son mariage.
Chuck : c’est elle, je voulais que tu la portes pour poser avec moi. Dire que je n’aurais eu qu’à le demander. Il n’est pas trop tard. Tu n’as pas besoin de faire tes preuves de ton côté. On peut construire quelque chose ensemble.
Blair : le plus triste dans tout ça c’est que j’en étais arrivé aux mêmes conclusions. Mais maintenant que je sais que je suis prête je me rends compte que tu ne l’es pas.
Chuck : quoi ?
Blair : et dire que je pensais qu’après tout ce que tu avais traversé, Prague, Eva, Russell, tu avais peut être changé mais quelle idiote.
Chuck : ne dit pas ça.
Blair : il te faudra des années pour être capable d’avoir une relation durable. Si tu en es capable un jour. Je suis désolée Chuck.
William : ah Lily. Je t’assure que ce n’est pas moi qui aie saboté ce projet de photo, j’espère que tu en as bien conscience.
Lily : oh, au point où j’en suis, je crois que je m’en fiche. Franchement soyons réalistes, moi Cece et Carole réunies au même endroit ça ne pouvait pas finir autrement qu’en apocalypse. Mais le fait d’avoir appris que ma rebelle de sœur n’a pas cessé de me juger toutes ces années tout en acceptant hypocritement l’argent de ma mère, ça change la donne.
William : je me souviens qu’elle déménageait tout le temps, Hawaï, Dallas, la banlieue de Detroit. Toujours là où elle était sur que ta mère n’irait pas.
Lily : et maintenant elle habite sur une péniche.
William : et toi dans un Pentem House.
Lily : ouais pour l’instant et ensuite ce sera le pénitencier.
William : Lily.
Lily : pour moi cette photo était une façon de penser à autre chose.
William : écoute personne ne sait qu’elle va être ta sentence. Pour le moment tu as ta famille près de toi-même s’ils sont barjots et qu’ils dansent en combinaison argentée.
Lily : justaucorps et ils étaient dorés. Merci William, tu as raison.
Rufus : je viens de parler à Julia Chaplin et elle m’a appris que Bénédicte Tachen était en déplacement et qu’elle n’a pas eu ton message. Cette idée de photo avec tes enfants venait du rédacteur en chef. William n’a rien à voir là dedans.
William : si c’est comme ça que tu fais des excuses Rufus, je les accepte.
Lily : aller, et si on rentrait tous à la maison ?
Blair : je n’étais pas au courant.
Dan : je sais.
Blair : joli costume au fait.
Dan : merci.
Blair : de quoi tu voulais me parler tout à l’heure ?
Dan : je voulais simplement dire que ce baiser ne représentait rien pour moi comme pour toi.
Blair : oh oui.
Dan : incompatibilité sociale.
Blair : une princesse qui embrasse un labrador.
Dan : j’apprécie que tu ne m’ais pas comparé à un crapaud. Blair ton prince est en train de t’attendre quelque part, c’est sans doute ni Chuck ni moi mais il n’est pas loin.
Blair : ta princesse aussi. Si tu l’attends toujours.
Charlie : quand je pense que ça fait des années que tu me mens.
Carole : je reconnais que j’ai fait des erreurs mais j’ai essayé de te protéger.
Charlie : comment ? En prenant l’argent de grand-mère ? En essayant de me monter contre tous les membres de ma famille ? Je n’ai plus 8 ans maman, j’ai 18ans je n’ai plus besoin qu’on me protège.
Carole : j’ai toujours fait ce qui me semblait être le mieux pour toi.
Charlie : non, ce qui semblait être le mieux pour toi. Sauf que c’est finit maintenant.
Carole : Charlie. S’il te plait.
Charlie : bon, trahison inacceptable de ma mère, séance photo annulée, aucun endroit pour dormir. Que ferait Serena Van Der Woodson à ma place ?
Serena : et bah perso dans ce genre de situation je vais toujours m’empiffrer de glace au caramel.
Charlie : bonne idée.
Blair : quelqu’un a parlé de glace ?
Serena : oh, B, je te présente ma cousine Charlie.
Charlie : ah la célèbre B. Quel honneur.
Blair : et moi je tuerais pour une vanille pistache et une sortie entre fille. On y va ?
Gossip girl : pauvre prince perdu. A quoi ça sert d’avoir un royaume si on est destiné à régler seul ?
Chez Lily.
Carole : toujours aucune nouvelle des avocats ?
Lily : non pas encore. Tu savais que Marta Stewart donnait des cours de travaux manuels dans les prisons ?
Carole : mon vol est dans quelques heures, j’espère qu’on en saura plus d’ici là. Et que Charlie acceptera de me parler dans l’avion.
Lily : il parait qu’elles ont passé une super soirée entre filles. Ca a du lui faire beaucoup de bien après le choc qu’elle a reçu. Découvrir qu’elle a été élevée dans une telle hypocrisie.
Carole : je voulais tellement que tu me vois comme quelqu’un de différent, que tu sois fière de moi. Quand tu as quitté Los Angeles j’ai eu l’impression d’être seule au monde, j’avais 24 ans pas de boulot, je vivais dans ma voiture puis un jour j’ai acheté un test de grossesse dans cette fameuse pharmacie sur Lorelle avenue et ça a tout bouleversé. Je n’ai jamais voulu demander à maman de m’aider. Mais ce n’était plus à moi que je pensais.
Lily : pourquoi tu ne m’as rien dit ?
Carole : pour que tu découvres que j’avais foiré ma vie ? Après que tu m’ais rejeté, moi et tout ce que je représentais, pas question.
Lily : qu’est-ce qui te prend de croire que je t’ai rejetée ? La seule chose que je voulais c’était ton approbation.
Carole : et bien tu l’as aujourd’hui. En te rendant à la police en te fichant royalement de ce que pensait les autres, ça c’est ma Lily.
Lily : tu viendras me rendre visite en prison.
Carole : je te ferais passer en douce des boîtes de chocolats.
Dans le hall.
Serena : alors est-ce que tu as pensé à ce que tu allais dire à ta mère ?
Charlie : le mieux je pense c’est que j’improvise sur le moment. De toute façon je n’aurais pas sa permission.
Serena : comment a sa permission ? Tu es une adulte, tu as le droit de prendre des décisions en espérant simplement qu’elle acceptera de te soutenir.
Charlie : je commence à comprendre pourquoi elle s’est toujours méfiée de toi. Tu ne réponds pas ?
Serena : non.
Vanessa : voilà je sais que tu ne veux plus me parler mais je ne peux pas garder ça. Dan Humphrey a embrassé Blair Waldorf et si tu leur demandes ils vont surement nier mais c’est vrai, je les ai entendu en parler et crois moi si je devais te mentir juste pour foutre le bordel je n’aurais pas pu inventer un truc aussi dingue.
Chez Lily.
Eric : je n’en reviens pas que Rufus t’ai autorisé à pénétrer dans la cuisine, normalement il est très territorial. Surtout avec les gaufres.
William : ton beau père et moi même avons enfin trouvé un terrain d’entente et puis il est mission à l’heure qu’il est.
Lily : bien j’ai du mal à y croire mais vous avez toute ma gratitude, je sais que vous faites tous ces efforts pour mon bien.
Carole : oh, et dire que je pensais que c’était pour moi.
Serena : bonjour maman.
Lily : bonjour chérie.
Carole : alors c’était sympa hier ?
Charlie : c’était cool, c’était même tellement cool que si Lily et toi vous êtes d’accord, j’aimerais rester et prendre l’ancienne chambre de Serena hier de mieux connaitre la famille, de rattraper le temps perdu.
Lily : c’est une excellente idée Charlie.
Carole : euh moi je pense que c’est une erreur. N’oublie pas ce que tu viens de vivre. Tu n’es pas prête.
Charlie : maman, grâce à toi je sais qui je suis, d’où je viens. Rien ne pourra changer ça. En tout cas merci de me soutenir.
Serena : et si je te montrais ta chambre ?
Charlie : tu as vu à quel point j’ai été nulle ?
Serena : tu vas t’améliorer avec le temps.
Lily : ne t’inquiète pas, tout se passera bien on va prendre soin d’elle.
Carole : non, non ça n’a rien à voir, il y a quelques mois elle a quitté l’université parce que.
Lily : dis moi ce qu’il se passe Carole.
Carole : tu dois me promettre que tu seras vigilante et que tu ne la laisseras pas sans surveillance d’accord ?
Lily : je te le promets.
A l’Empire.
Nate : tu as bien dormi ?
Raina : non je n’ai pas fermé l’œil de la nuit.
Nate : tu penses toujours à ta mère ?
Raina : oui mais pas à cause de ce que tu crois. Mon père m’a toujours dit qu’elle n’avait jamais cherché à nous contacter mais je ne peux pas m’empêcher d’avoir des doutes maintenant que je sais qu’il m’a menti sur tellement de truc.
Nate : je comprends que tu te poses des questions. Tu ne peux pas rester comme ça, tu pourrais peut être essayé de la retrouver.
Gossip Girl : sachez que l’enfer est parfois le prix à payer lorsque l’on cherche à déterrer les vieux secrets.
Chez Lily.
Rufus : gardez moi une gaufre, mais avant nous avons une surprise.
Lily : qu’est-ce que je vois, tu copines avec ma mère ?
Serena : oh c’est surprenant.
Cece : Rufus a réussi à réunir la famille chérie.
Rufus : à quoi ça servirait un portrait de famille si on n’était pas tous ensemble. Lily, j’imagine que tu connais Laurie Simons.
Dan : salut, vu que c’est un portrait de famille je suppose que tu dois être la cousine Charlie.
Charlie : oui salut, toi tu es Dan ?
Dan : ouais. Tu vas rester longtemps ?
Charlie : ça dépend de plein de chose.
Laurie : c’est bon je suis prête, si vous voulez bien vous installer.
Rufus : oh Cece venez je vous veux prêt de moi.
Cece : oh j’ai une idée et si je m’assaillais entre vous et William.
Rufus : d’accord.
Cece : ça ne vous dérange pas j’espère.
Laurie : bon, on y va.
Rufus : Lily, tu veux que.
Lily : non, non ça va laissons le sonner, je veux que la photo de famille capture ce moment précis.
Laurie : ok, tout le monde me regarde.
Gossip Girl : quelque soit le voyage, ce n’est pas la destination qui compte mais la personne avec qui vous le faite.
Chez Blair.
Blair : pourquoi l’amour est quelque chose de si compliqué Dorota ? Je ne demande pas l’impossible, juste un petit conte de fée. Kate Middleton l’a bien eu alors que mes cheveux sont plus beaux que les siens. C’est vrai que pour les chapeaux elle me bat à plat de couture.
Dorota : ne désespéré pas mademoiselle Blair, le destin réserve pleins de surprises.
Gossip Girl : on ne sait jamais qui on va rencontrer sur la route. Qui sait, peut-être que les contes de fées existent après tout. Bisous, bisous Gossip Girl.